Je de l'âme

Se serait un jeu d'aventures type rpg un peu à la zelda je pense, mais sans pour autant en reprendre tout les codes. On interprètera le dernier humain sur terre, dans un mande mi fantstique mi-futuriste, sur un continent entouré d'eau où personne ne pensait qu'un jour d'utres êtres allaient faire surface, comme les dragons de l'autre côté, les serpents de mers, les trolls les araignées géantes... Ils ont tous peuplés note terre, et ont finit par nous déclarer la guerre. Personne ne sait pourquoi ils nous attaquent, et ce qui les a fait fuir de leur terre natale. Mais avec eux sont venus les elfes et les demi-humains, ces humains qui n'ont que quelques attributs de monstres, comme un corps de cheval, des griffes, des ailes etc. Mais parmis eux la race humaine s'est presque éteinte. Non pas par orgueil ou par courage mais par peur, notre héro décide de faire tout ce qui est en son pouvoir pour quitter son continent, mais en des siècles sa tribu s'était fondée dans un tout petit bout de terre, et il va vite s'apercevoir que les cartes en sa possession ne sont plus d'actualité, il va rencontrer horreurs et tourments, mais avec une petite troupe va réussir à quitter le continent, et surprise...
Il n'y aura ni eau, ni lac, ni océans, mais deux immenses portails, de deux mondes différents. Selon le portail choisit, le jeu sera différent. Bon, c'est une idée en vrac, mais j'aime les trucs compliqués, et j'ai tellement l'impression d'avoir fait un truc simpliste...

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Je me vois courir,
Je me vois m'enfuir,
Poursuivit par cette ombre glacée,
Que par mon sang attirée,
Me mène vers cette cascade,
Et que sans réfléchir où cela pouvait me mener,
Je plonge dans cette eau cristaline.
Le fluide gelé pénetre en moi,
Comme une légère brise argenté,
Mais vite hors de l'eau,
Mes sens me soufflent que je me noyais.
Atteignant la roche,
Je m'engouffre sous la trombe,
Jetant un oeil au-dessus de mon épaule,
Une vague d'effroi s'installe en moi.
Cette valkyrie juste derrière moi,
Me pousse vers le fond de l'antre sombre,
Alors que les ténèbres envahissent mes yeux,
Je me retourne et perçois,
Comme un éclair blanc foncer sur moi.
Sentant une pointe glacée traverser ma poitrine,
Mes jambes se dérobent,
Et je ferme les yeux.
Quelques minutes plus tard je les réouvre,
A ma grande surprise je pu constater,
Qu'a mon grand bonheur,

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J'avais rêvé..

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